SENTIER DE LA PORTE DU DIABLE
Type de circuit:
Animateur: Marmotte21
Marche de 6,5 km
Dénivelé: m de dénivelé cumulé négatif et autant de positif
Niveau 2
Durée: environ 2h30
Parcours non balisé
Départ parking de la cité de la flamme à Plombières les Dijon juste après le tunnel
Point d'eau: aucun
Marche faite le 1er octobre 2011 - 23 mai 2014
Descriptif de la marche:
La porte du Diable (ou porte de la dame blanche) est située dans la campagne de l'Est Dijonnais, après Plombières les Dijon.
Elle est sensée être maléfique, des légendes diverses et variées se sont répandues: si on passe devant en voiture, le moteur s'arrête, apparition de la dame blanche ou du diable, disparition de visiteurs....
la légende veut que si on entre par une porte et qu'on ressort par la même (et non par l'autre), le malheur s'abatera sur vous........
Centres d'intérêts:
Découverte de la Porte du Diable, et le prieuré de Bonvaux
La porte du diable:
La porte a vraisemblablement été construite au cours du XIXème siècle, le commanditaire de cette construction de style gothique s’appelait Mr Adolphe Bonnet, mort en 1873, était l’ancien propriétaire de la ferme de Champ monron qui se trouve en amont de la porte. Il aurait fait installer ce vestige à cet endroit reliant le prieuré de Bonvaux à sa ferme.
La porte a été construite avec des éléments de l’hôtel Bernardon à Dijon détruits lors de la révolution (1789).
Le tombeau de l’ancien propriétaire se trouve dans le secteur de la porte.
On l’appel la porte du diable, pour l’emblème qu’il y a dessus. En fait, il s’agirait de l’emblème d’un bonnet phrygien, usé par le temps a donné cette forme de tête de diable.
A la fin des années 90, une secte « Amour et miséricorde », aujourd’hui elle a été démantelé, a fréquenté cet endroit pour leur cérémonie ésotérique. Une jeune fille disait avoir des visions de la Sainte Vierge à la porte du diable.
Les légendes qui entour la porte du diable semblent assez récente puisqu’elles auraient probablement été créées à la fin des années 80.
La porte du Diable est censée être maléfique, des légendes diverses et variées se sont répandues : si on passe devant en voiture, le moteur s'arrête, apparition de la dame blanche ou du diable, disparition de visiteurs....
la légende veut que si on entre par une porte et qu'on ressort par la même (et non par l'autre), le malheur s’abattra sur vous........
Le prieuré de Bonvaux:
En 1214, les religieux du monastère du Val des Escoliers, près de Chaumont en Bassigny et de l’ordre de Saint Augustin, se trouvèrent en surnombre. Ils durent songer à une séparation et envoyer ailleurs une petite colonie. Grâce à la générosité de Garnier de Fontaines, ils fondèrent le Prieuré de « Notre Dame de Bonvaux sous Talant » en 1215. Dans leur maison, ils donnent l’instruction aux jeunes fils des seigneurs du voisinage, lesquels sont naturellement les bienfaiteurs du Prieuré. Parmi eux, figure Kalo de Saulx, mort en 1270 et enterré à Bonvaux. Sa pierre tombale se trouve dans la partie basse de la chapelle. Les prieurs commanditaires se succèdent jusqu’en 1790, quand est prononcée la suppression des ordres religieux. Bonvaux est vendu le 2 Avril 1791 au Sieur Mathieu, pour la somme de livres. Après être passé entre les mains de sept propriétaires différents, et avoir subi de fortes dégradations, Bonvaux est acquis par Eugène Debost en 1878. Son fils, Charles, mon grand père, fait d’importantes réparations et constructions, inspirées du style Violet le Duc, ce qui modifie le caractère religieux de l’ensemble. Son fils, Guy Debost, poursuit et complète les aménagements intérieurs. La ferme a ensuite été exploitée avec des vaches laitières et quelques chevaux de selle de 1952 à 1967. En 1970, un manège et des boxes ont été construits. La ferme est devenue un centre équestre L’ensemble a une superficie de 140 hectares, pour moitié en prés , l’autre en forêt, sillonnée de nombreuses promenades. L’ancienne chapelle est aménagée en salle de réception.
Animateur: Marmotte21
Marche de 6,5 km
Dénivelé: m de dénivelé cumulé négatif et autant de positif
Niveau 2
Durée: environ 2h30
Parcours non balisé
Départ parking de la cité de la flamme à Plombières les Dijon juste après le tunnel
Point d'eau: aucun
Marche faite le 1er octobre 2011 - 23 mai 2014
Descriptif de la marche:
La porte du Diable (ou porte de la dame blanche) est située dans la campagne de l'Est Dijonnais, après Plombières les Dijon.
Elle est sensée être maléfique, des légendes diverses et variées se sont répandues: si on passe devant en voiture, le moteur s'arrête, apparition de la dame blanche ou du diable, disparition de visiteurs....
la légende veut que si on entre par une porte et qu'on ressort par la même (et non par l'autre), le malheur s'abatera sur vous........
Centres d'intérêts:
Découverte de la Porte du Diable, et le prieuré de Bonvaux
La porte du diable:
La porte a vraisemblablement été construite au cours du XIXème siècle, le commanditaire de cette construction de style gothique s’appelait Mr Adolphe Bonnet, mort en 1873, était l’ancien propriétaire de la ferme de Champ monron qui se trouve en amont de la porte. Il aurait fait installer ce vestige à cet endroit reliant le prieuré de Bonvaux à sa ferme.
La porte a été construite avec des éléments de l’hôtel Bernardon à Dijon détruits lors de la révolution (1789).
Le tombeau de l’ancien propriétaire se trouve dans le secteur de la porte.
On l’appel la porte du diable, pour l’emblème qu’il y a dessus. En fait, il s’agirait de l’emblème d’un bonnet phrygien, usé par le temps a donné cette forme de tête de diable.
A la fin des années 90, une secte « Amour et miséricorde », aujourd’hui elle a été démantelé, a fréquenté cet endroit pour leur cérémonie ésotérique. Une jeune fille disait avoir des visions de la Sainte Vierge à la porte du diable.
Les légendes qui entour la porte du diable semblent assez récente puisqu’elles auraient probablement été créées à la fin des années 80.
La porte du Diable est censée être maléfique, des légendes diverses et variées se sont répandues : si on passe devant en voiture, le moteur s'arrête, apparition de la dame blanche ou du diable, disparition de visiteurs....
la légende veut que si on entre par une porte et qu'on ressort par la même (et non par l'autre), le malheur s’abattra sur vous........
Le prieuré de Bonvaux:
En 1214, les religieux du monastère du Val des Escoliers, près de Chaumont en Bassigny et de l’ordre de Saint Augustin, se trouvèrent en surnombre. Ils durent songer à une séparation et envoyer ailleurs une petite colonie. Grâce à la générosité de Garnier de Fontaines, ils fondèrent le Prieuré de « Notre Dame de Bonvaux sous Talant » en 1215. Dans leur maison, ils donnent l’instruction aux jeunes fils des seigneurs du voisinage, lesquels sont naturellement les bienfaiteurs du Prieuré. Parmi eux, figure Kalo de Saulx, mort en 1270 et enterré à Bonvaux. Sa pierre tombale se trouve dans la partie basse de la chapelle. Les prieurs commanditaires se succèdent jusqu’en 1790, quand est prononcée la suppression des ordres religieux. Bonvaux est vendu le 2 Avril 1791 au Sieur Mathieu, pour la somme de livres. Après être passé entre les mains de sept propriétaires différents, et avoir subi de fortes dégradations, Bonvaux est acquis par Eugène Debost en 1878. Son fils, Charles, mon grand père, fait d’importantes réparations et constructions, inspirées du style Violet le Duc, ce qui modifie le caractère religieux de l’ensemble. Son fils, Guy Debost, poursuit et complète les aménagements intérieurs. La ferme a ensuite été exploitée avec des vaches laitières et quelques chevaux de selle de 1952 à 1967. En 1970, un manège et des boxes ont été construits. La ferme est devenue un centre équestre L’ensemble a une superficie de 140 hectares, pour moitié en prés , l’autre en forêt, sillonnée de nombreuses promenades. L’ancienne chapelle est aménagée en salle de réception.